Langues: arabe, français, anglais.
Le métier de traducteur n'est pas nouveau et il n'est nul besoin d'être trés versé dans l'histoire pour savoir que chefs, émirs ou empereurs savaient se faire entourer d'une horde de secrétaires, copistes, traducteurs et interprètes. Mais ce n'est que récement que, suite à la mise en place d'Ecoles de Traducteurs et d'Interprètes, la profession de traducteur est apparue et s'est structuré. Il est bien clair que le champ de la traduction, haut lieu de concurrences multiples, ne va pas se libérer pour autant pour laisser la placs à un monopole soudain très jaloux de ce qui devrait lui revenir de droit et c'est donc dans une situation fort délicate que se retouvent les traducteurs, légitimement désireux de voir leurs compétences comfirmées et désolés d'être doublés par tant et tant de traducteurs supposés, imaginés, autoproclamés. Faut-il et est-il possible cependant de verouiller le système? la question reste posée.
250 pages
420 (grammes)
Distribution : Éditions de l'Université Saint-Joseph