« Une pierre placée dans l’édifice, grâce à laquelle, nous pourrons consolider notre institution et sa mission ».  C’est par ces mots, que le Pr Salim Daccache s.j., recteur de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth (USJ), a exprimé, durant une rencontre au rectorat, le 1 septembre 2021, sa vive reconnaissance envers la FFA Private Bank, qui a décidé, par le biais de son Président-Directeur général, M. Jean Riachi, d’octroyer un don à l’USJ.                  

Dans son mot d’accueil, la directrice de la Fondation USJ, Mme Cynthia Ghobril Andréa, a réitéré les remerciements du recteur et a expliqué que la contribution de la FFA va aider la campagne « Donner pour éduquer », pour pouvoir continuer à former les générations futures. Aujourd'hui, plus que jamais, vu la grave crise économique, sociale et sanitaire que traverse le Liban, l'USJ fait appel à ses généreux donateurs (Alumni, amis et partenaires) pour assurer le budget destiné à accorder des bourses à plus de 3000 étudiants en difficulté financière par année.

M. Jean Riachi, a estimé, de sa part, que la FFA considère que soutenir l’éducation au Liban est un devoir patriotique, puisque l’avenir du pays est lié à ce secteur, surtout au niveau de l’enseignement supérieur. « Les entreprises locales, poursuit Riachi, qui sont capables de survivre à cette crise économique, et qui peuvent soutenir l’éducation par le biais des dons, doivent le faire. »

« Nous avons décidé d’aider huit universités au Liban, dont bien entendu l’USJ, et nous espérons avoir la possibilité de le faire chaque année. Je suis là aussi pour vous remercier, en tant qu’université, pour le travail difficile que vous faites, consacré à la survie et le développement du Liban », conclut Riachi.

De son côté, le Pr Salim Daccache, a jugé que l’éducation, par la formation des ressources humaines, est le moteur de la croissance. « Nous sommes fiers, ajoute-t-il, des dizaines de milliers de nos diplômés, hommes et femmes, formés à l’USJ et qui ont excellé au Liban et partout dans le monde. Actuellement, parmi les étudiants de l’USJ, 45 à 50% sont financés par le service social de l’université. Pour continuer à espérer et à consolider nos institutions, il nous faut alimenter cette espérance, par le biais de la Fondation USJ, en aidant ces jeunes. Des talents qui méritent d’être aidés, et dans lesquels, investir est un gage pour l’avenir. »

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