Cette formation de quatre ans vise à former des sages-femmes pouvant œuvrer d'une façon autonome et responsable dans le domaine de la périnatalité et à développer leurs compétences professionnelles scientifiques, techniques, communicatives, éthiques, culturelles et organisationnelles, etc.

La sage-femme accompagne la femme enceinte jusqu’à la naissance de son enfant. Elle assure d’abord la surveillance et le suivi médical de la grossesse.

De surcroît, elle conduit les accouchements eutociques sous sa propre responsabilité. Enfin, elle prend en charge la femme et son nouveau-né après l’accouchement.

Le programme des études se divise en deux : d’une part, l’enseignement théorique d’ordre général qui aborde l’anatomie, la physiologie, la pathologie, la pharmacologie, etc. et d’ordre disciplinaire qui met l’accent sur l’obstétrique, la gynécologie, la pédiatrie… d’autre part, l’enseignement clinique (stages) en intra et extrahospitalier où l’étudiant appréhende les pratiques professionnelles telles que : la consultation, l’accouchement, le post-partum, etc.

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L’Université Saint-Joseph de Beyrouth (USJ) a été sélectionnée parmi les universités les plus innovantes du classement WURI (World’s Universities with Real Impact) pour l’année 2022.

WURI est le premier classement mondial des universités innovantes établi pour évaluer les initiatives flexibles et innovantes des universités en vue de former une main-d’œuvre adaptée aux besoins de l’industrie et de la société.

Non seulement l’USJ s’est classée à la 16e place dans le Top 100 des universités mondiales ayant un impact réel en gestion de crise, mais elle s’est également distinguée dans la liste des 51-100 dans le Top 100 des universités mondiales ayant un impact réel en application industrielle grâce au projet « Start Up for Biopesticides Production » mené par la Faculté des sciences (FS) de l’USJ. Elle a également été sélectionnée parmi les 101-200 meilleures universités du classement général des universités mondiales ayant un impact réel.

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L’Association internationale des universités jésuites (IAJU), qui réunit plus de 200 universités et institutions d’enseignement supérieur jésuites disséminées dans le monde entier, a décerné la médaille Peter Canisius au Pr Salim Daccache s.j. recteur de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth (USJ), lors de son assemblée qui s’est tenue du 3 au 6 août 2022 à Boston College dans le Massachusetts aux États-Unis.

Cette médaille est décernée à une personne exceptionnelle, qui a largement œuvré pour le progrès éducatif, spirituel, social, culturel et intellectuel de l’humanité, et dont la carrière et les réalisations inspirent la jeunesse et la stimulent. Elle a été remise au Pr Daccache s.j. par le Supérieur général de la Compagnie de Jésus, P. Arturo Sosa s.j. lors de la cérémonie de clôture de l’assemblée de l’IAJU, qui réunissait plus de 400 participants, qui ont fort chaleureusement applaudi la nouvelle.

P. Philip Geister s.j., Président du Kircher, le réseau de la région Europe-Liban de l’IAJU, explique dans l’allocution prononcée à cette occasion que l’association honore le Père Daccache s.j. « pour ses accomplissements extraordinaires au cours des dix dernières années. Malgré la dévastation de Beyrouth et l'effondrement de l'économie libanaise, le Professeur Daccache s.j. a courageusement maintenu le cap ; grâce à la prière et à sa forte détermination, l'hôpital universitaire Hôtel-Dieu de France (HDF) et l'université ont continué de fonctionner. »

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Malgré la crise économique qui frappe le Liban, la production de vin n’a jamais été aussi élevée.

Méconnu en Europe, le vin libanais est pourtant l’un des plus anciens du monde. Le Liban compte une petite centaine de marques de vins pour une cinquantaine de vignobles dont celui de Maya Anid. Maya Anid, une bénévole de la Croix-Rouge reconvertie dans la vigne, possède le domaine du Clos du Phoenix depuis 2013. En plus des grappes de raisins, ce domaine de 6 hectares contient du merwah, un cépage blanc autochtone du Liban d’habitude utilisé dans la fabrication de l’arak, un alcool anisé traditionnel « C’est le seul raisin à vin qui peut aussi se manger comme un fruit », précise la vigneronne. Le Clos du Phoenix produit quatre rouges, deux blancs et un rosé.

L’alcool libanais est un secteur d’avenir et Maya mise de plus en plus sur l’exportation. Son vin existe sur la plateforme de vente en ligne Lebanese Wine 209 créée pour mettre le Pays du Cèdre sur la carte du monde des vins et spiritueux.

Maya détient une Licence en gestion des entreprises de la Faculté de gestion et de management (FGM) de l’USJ obtenu en 1981. Maya avait été chargée de cours et de travaux dirigés en Marketing à la FGM entre 1983 et 1996.

Témoignage tiré de : alumniusj.org

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