Ce cours sensibilise les étudiants à la lecture et leur fait prendre conscience de l’impact du livre sur le développement général de l’enfant. Il leur donne l’occasion de découvrir, outre les écrivains traditionnels et contemporains, les composantes de la littérature de jeunesse, les valeurs et les compétences qu’elle véhicule. Il développe, enfin, la culture des étudiants et les amène à susciter le désir et le goût de lire chez l’enfant.

Temps présentiel : 23.5 heures

Charge de travail étudiant : 16.5 heures

Méthode(s) d'évaluation : Examen final, Travaux pratiques

Référence :
BRAUNER (A.), 1968, « Nos livres d’enfants ont menti », S.A.R.R.I. BETTELHEIM (B), 1983, « La lecture et l’enfant », Laffont. BRUN-COSME (N), MONCOMBE (G), POSLANEC (C), 1993 « Dire, lire, écrire » Milan BRU (Ch) et (B), 1997 « Le conte improvisé » BETTELHEIM (B), 1976, « Psychanalyse des conte de fées », Laffont. BRASSEUR ( P), 2003, « 1001 activités autour du livre » Casterman DANSET Léger, 1980, « L’enfant et les images de la littérature enfantine », Mardaga DESPINETTE (j.), 1972, « Enfants d’aujourd’hui, livres d’aujourd’hui », Casterman. GUARANDE, 1964, « Le petit monde de la comtesse de Ségur », Les Seize. GROUPE DE PEDAGOGUES, 1960, « Les livres pour les enfants », Ouvrières. JAN (I), 1985, « Essai sur la littérature enfantine », Ouvrières. LEON (R) 2008, « Dire, lire, écrire »Hachette Education LOISEAU, 1992, « Les pouvoirs du conte », PUF. MAINE (M.C), 1975, « Raconter une histoire, Pourquoi ? Comment ? », De l’école. RODARI Gianni, 2010, « Grammaire de l’imagination » rue du monde OK-RYEN (S), 1971, « Psychopédagogie du conte », Fleurus. PENNAC Daniel, 1992, « Comme un roman », Gallimard. PROPP (V), 1970, « Morphologie du conte », Seuil. SORIANO (M.), 1995, « Guide de la littérature pour la jeunesse », Flammarion VALLOTTON (M.), 1977, « L’enfant et l’animal dans l’éducation », Casterman. Cette bibliographie sera complétée par les livres de littérature enfantine produits par les auteurs mentionnés dans le programme.