Mme Marie-Thérèse KHAIR KAREH (EL) BADAWI

Faculté des lettres et des sciences humaines

Professeur

(+961) 1 421 000 ext mt.khairbadawi@usj.edu.lb

Marie-Thérèse KHAIR BADAWI est Professeure Chercheure à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth où elle enseigne depuis 1978. Psychanalyste, membre Formateur de l’International Psychoanalytical Association (IPA), de la Fédération Européenne de Psychanalyse (FEP) et de la Société Psychanalytique de Paris (SPP), elle est aussi co-fondatrice et première Présidente de l’Association Libanaise pour le Développement de la Psychanalyse (ALDeP), première association de l’IPA (depuis janvier 2010) dans un pays de langue arabe. Elle est également membre de la Société française du Rorshach et des méthodes projectives, du COWAP, comité de l’IPA, et membre fondateur et actif de plusieurs associations au Liban. Elle a intervenu dans différents congrès et universités, au Liban et à l’étranger (Allemagne, Angleterre, Belgique, Canada, Chypre, Etats-Unis, France, Italie, République Tchèque, Suisse, Tunisie, Turquie...). Ses principaux axes de recherches et de publications (dont notamment dans la Revue Française de Psychanalyse et l’International Journal of Psychoanalysis) : la psychanalyse, la relation transféro-contretransférentielle, la sexualité (féminine en particulier), le masculin et le féminin, le féminin et le maternel, le traumatisme, l’inceste, la guerre…Certains de ses textes ont été traduits - à partir du français - en arabe, anglais, allemand, espagnol, italien, portugais au Portugal, portugais au Brésil, turc et perse. . À noter que l’un de ses textes, a été classé meilleure publication de la décade 2005-2015 de la revue Internationale Psychanalyse dans la traduction allemande, que la première traduction espagnole a fait l’objet d’un article de Janine Puget et que l’IPA en a fait un podcast en français, anglais et italien en 2020. Sa thèse de doctorat publiée chez l’Harmattan, Paris, en 1986, sous le titre « Le désir amputé ; vécu sexuel de femmes libanaises » est considérée par l’UNESCO comme la première recherche fiable sur la sexualité des femmes au Moyen-Orient.