Coronavirus: Un Totalitarisme Sanitaire

Actuellement, la réalité scientifique du Coronavirus, ou de la Covid-19 (selon là où on habite), est gravement infectée par la pandémie politico-médiatique, qui se propage à travers la faible immunité psychologique de l’individu.
Alexandre HAJJAR
Jeudi 10 décembre 2020
Organisateurs


Depuis février 2020, l’histoire de l’humanité assiste à un autre combat entre science et politique. Et, comme depuis la nuit des temps, c’est la politique qui le remporte, jusqu’à nouvel ordre ; monopolisant l’information, la communication, et la justice, la classe dirigeante, comme son nom l’indique, dirige la science et la société toute entière avec. Aujourd’hui, ce n’est pas avec la force ou même l’autorité, que les dirigeants mettent à l'œuvre leur pouvoir, mais avec la peur d’un inconnu : un virus plus ou moins mortel (on ne sait pas d’ailleurs) qui se propage rapidement et à une échelle mondiale. 

Il faut reconnaître la présence de ces deux camps, celui de la science, et celui de la sphère politico-économique, et cela pour plusieurs raisons : l’exagération médiatique, les fausses informations, les décisions ambiguës et la censure. Tout d’abord, admettant que les chiffres publiés soient réels, le taux de mortalité du virus étant à une moyenne en dessous de 2%, il est déjà normal de remettre en question l’intensité extrême de l’alarme médiatique globalisée. Rappelons que les médias ont toujours été un moyen de propagande, et qu’il est facile d’amplifier toute situation à travers un montage audio-visuel focalisé sur un sujet spécifique, et ayant un certain but en tête. Ainsi, les médias trahissent la science doublement en une fois : ils partent de leurs propres conclusions aux preuves, et ils ne font pas le poids entre le danger et la peur. Pour une raison ou une autre, les médias créent une peur collective de la mort, en projetant la peur de chacun sur un objet précis, le virus. 

Ensuite, les informations publiées sont biaisées de la tête aux pieds : le journal scientifique du Lancet, internationalement prétendu honorable, publie des résultats venant d’études inexistantes, les hôpitaux et médecins sont commissionnés pour tout cas de coronavirus positif, les autopsies sur les cadavres contaminés sont interdites, les tests sont très peu efficaces et précis, et le nombre de morts est amplifié par les médecins et les hôpitaux. Rappelons que les tests actuels ne prélèvent que quelques morceaux de particules qui ne permettent pas de réellement confirmer la présence de la 

Covid-19, dont le virus existe d’ailleurs depuis longtemps sous différentes variations. 

Maintenant, par rapport aux décisions prises et presque imposées par l’OMS et les différents gouvernements, nous allons nous arrêter sur le confinement, le port du masque, l’interdiction de voir son médecin en France, et l’interdiction de l'hydroxychloroquine. Rappelons que cette pandémie n’est pas la première, et loin d’être la plus dangereuse et la plus mortelle. Depuis toujours, le confinement se fait pour les personnes infectées de la maladie, et non pas à l’aveugle, chose qui multiplie évidemment les cas. Autre conséquence du confinement est la crise économique que le monde vit actuellement, crise qui ne fera qu'élargir l’abîme entre riches et pauvres. D’un point de vue socio-psychologique, les enfants n’ont plus accès à une réelle éducation, ceux qui sont dans des situations plus difficiles ont à peine accès à n’importe quelle forme d’éducation. Les individus, même devant un ennemi commun, ont peur l’un de l’autre et se gardent de vue en permanence. La solitude n’a même plus la solution de la thérapie, puisque le contact humain est aujourd’hui tabou, sinon interdit. Enfin, pour le port du masque, il est clair que l’on ne peut pas contenir un virus de la sorte, et qu’il faudrait prendre un nombre fou de précautions pour réellement espérer se protéger. 

Ainsi, la politique use de la science en tordant ses mots et en choisissant les évidences. La raison de cette exploitation reste cachée, mais le profit fait par les compagnies pharmaceutiques, et l’écart ajouté à la parité riches-pauvres sont exorbitants, et certains