L’union de l’informatique quantique au jeu d’échecs classique a donné naissance à une nouvelle variante exploité par les développeurs du jeu l’union de l’informatique quantique au jeu d’échecs classique a donné naissance à une nouvelle variante exploité par les développeurs du jeu Quantum Chess, suite auxquelles un tournoi opposants chercheurs de différentes plates-formes fut déclaré pour la première fois.

C’est en décembre 2020 que le premier tournoi d’échecs quantique a vu le jour lors de la conférence Q2B 2020 sur l’informatique quantique. Le vainqueur de ce challenge fut un membre de l’équipe d’Amazon AWS qui a remporté son titre suite à sa rencontre en finale contre Doug Strain, un représentant de Google et promoteur de Quantum chess.

L’informatique quantique est une véritable révolution qui fera des miracles avec le temps mais pour l’instant nul ne sait réellement quand cette technologie sera maîtrisée.

Or le monde quantique étant tellement vaste beaucoup de ses effets sont depuis longtemps étudié et c’est en 2014 que Chris Cantwell, diplômé de l’université de Californie du Sud en informatique quantique, décide d’entreprendre la création d’une nouvelle vision du jeu d’échecs classique en lui ajoutant une nature quantique pour parvenir à jouer avec encore plus de phénomène.

Tous les effets relatifs à ce nouveau monde furent appliqués les règles classiques bouleversées. Cependant le but du jeu n’a pas changé mais a simplement évolué.

Le principe de ce nouveau jeu d’échecs est que le nombre de mouvements n’est plus unique d’où une même pièce peut se retrouver à divers endroits différents et ceci en même temps ainsi la probabilité de chaque coup devient un facteur encore plus important.

Deux grands phénomènes physiques sont au cœur de cette nouveauté : la superposition quantique ainsi que l’intrication quantique créant de ce fait un chevauchement des pions et leur dédoublement.

De point de vue physique, l’ensemble des valeurs pouvant être mesurées reste inchangé et ceci avant et après avoir effectué la mesure; mais dans le cas des atomes cette description n’est plus fiable. Une particule par exemple pourrait se situer dans une position A ou encore dans une position B mais la particule pourrait également se retrouver dans un état plus complexe appelé états superposés formés par la position A et B où ces deux dernières pourraient intervenir dans différentes proportions. C’est ce principe qui a été utilisé dans le jeu et où les positions représentent les cases de l’échiquier et les pions les particules.

L’intrication quantique quant à elle lit des objets (pions) a priori indépendants qui ne communiquent pas vraiment entre eux mais qui forment en réalité un seul et unique système.

Pour conclure, le but du jeu est évidemment de parvenir à capturer le roi de son adversaire tout en essayant de confirmer sa position.

Bonne nouvelle, Quantum chess se verra bientôt commercialisé suite à son partenariat avec ArcanForge.