Parcours
Maria Azar
Psychologue clinicienne au Centre médico-psychologique d’accueil de l’enfant de la guerre et de sa famille (APEG)
Psychothérapeute d’inspiration analytique
Master en psychologie clinique et pathologique, Promo 2018
Faculté des lettres et des sciences humaines (FLSH)
www.flsh.usj.edu.lb
departement.psycho@usj.edu.lb
flsh@usj.edu.lb
+961 (1) 421 000 ext 5132 ou 5116
Maria Azar

Je n’aurai jamais imaginé que le parcours d’un.e psychologue ou d’un.e psychothérapeute, pourrait être considéré comme une success story. C’est un métier qui nous permet de renvoyer à l’autre sa singularité et de lui permettre de se découvrir. Chaque patient est une aventure.

Je savais depuis longtemps que je voulais devenir psychologue/psychothérapeute mais faire quoi exactement, aider qui spécifiquement, je n’en avais aucune idée. C’est ainsi que mon chemin a commencé à l’Université Saint Joseph de Beyrouth (USJ), à la Faculté des lettres et des sciences humaines (FLSH), avec une première Licence en psychologie du travail et de l’entreprise (2011). Ce n’est qu’à travers mon travail au sein d’un bureau de ressources humaines que l’écoute de l’inconscient, les émotions, les conflits intra-inter psychiques, les relations et les dynamiques m’ont amenés à changer de carrière et revenir à l’université pour compléter respectivement, ma Licence puis mon Master en psychologie clinique et pathologique (2018).

J’ai surtout travaillé dans le domaine de la protection de l’enfant dans plusieurs ONG locales et internationales et je reçois également des patients en privé. L’apprentissage de ce métier à l’USJ a été une base formatrice importante pour ma carrière, où j’ai pu nouer des liens précieux avec mes professeurs, mes camarades et mes collègues. Certainement, la formation universitaire n’est qu’un saut dans le monde de la psychologie, ce métier requiert de l’endurance, de la patience, de la persévérance et des formations continues à titre tant personnel que professionnel, mais surtout de la passion et de l’amour. En fin de compte, la santé mentale est un droit et il revient au thérapeute d’aménager un espace de confiance pour aider l’autre à se comprendre et à alléger sa souffrance.





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